Je soutiens la proposition de créer un droit à la mobilité active 

La mobilité active est le premier moyen de prévention primaire de la sédentarité, responsable de nombreux décès en France. Il faut inscrire ce droit dans la loi d’orientation des mobilités, c’est l’intérêt général. 

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Je propose un amendement pour revoir à la hausse le fonds vélo 

Bien que ce soit la première fois que l’Etat finance un plan national vélo, le montant de 350 millions d’euros sur sept ans (soit 70 centimes par habitant et par an) est en deçà de la proposition de la FUB (200 millions d’euros par an). 

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Je propose un amendement pour rendre obligatoire le forfait mobilité durable 

Une application immédiate dans les trois fonctions publiques et le cumul avec le remboursement de 50 % des frais de transport en commun sont également indispensables pour atteindre les objectifs de report modal. 

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Je fais inscrire dans la loi la promesse du Premier ministre de généraliser l’apprentissage de la mobilité à vélo 

A l’horizon 2022, la généralisation du dispositif permettra aux jeunes rentrant en 6e de maîtriser la pratique du vélo en autonomie et en sécurité. Il faut l’inscrire dans la loi. 

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Je contribue à re-créer un bonus VAE, cumulable avec toute aide locale et/ou de l’employeur 

Notamment par le biais des Certificats d’économie d’énergie (CEE), grâce à une TVA réduite ou par l’usage des fonds du Malus automobile pour l’achat de VAE. 

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Je contribue à transcrire dans le droit français l’obligation de transport de vélos dans les trains 

Sans cette obligation et un stationnement important dans les gares et pôles d’échanges multimodaux, le vélo dans les territoires péri-urbains et ruraux ne sera pas crédible. 

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Je propose des amendements pour lutter contre le vol 

Dans l’objectif de financer l’obligation de marquage des vélos et de rendre cette opération très simple pour le cycliste. 

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